Publié le 15/03/2024 sur Le Figaro
Dépêche AFP
Illustration : sebra / stock.adobe.com
Selon le récit d’Adrian, les faits ont commencé lorsqu’il avait 12 ans. Six jours sur sept, le mardi étant son seul «jour de repos», il devait quitter son campement le matin et risquait d’être frappé si son butin était insuffisant.